Plusieurs raisons peuvent pousser à rechercher une perte de poids. La plupart du temps il s'agit de perdre quelques kilos pour affiner sa silhouette avant les beaux jours. En somme, de retrouver l'équilibre par des actions ciblées et de maintenir un poids de forme qui conjugue santé, dynamisme et bien-être digestif.
Les réserves sont fabriquées par le surplus de lipides et de sucres de l’alimentation : c’est la lipogenèse, dépendante de la régulation d’une hormone pancréatique, l’insuline. L’utilisation des graisses - ou lipolyse - se fait la nuit, pendant une activité sportive ou entre deux repas distanciés, sous influence de l’adrénaline. Quand tout fonctionne bien, lipolyse et lipogenèse sont en équilibre. Le poids reste stable.
Bien sûr, il n'y a pas d'égalité devant le poids. De nombreux facteurs l'influencent : la génétique, l'âge, le métabolisme et l'état émotionnel. Ces facteurs sont à prendre en compte pour obtenir des résultats.
Le duo graisses-sucre est responsable de la tendance au stockage et de la modification du métabolisme : les sucres raffinés ou sucres à index glycémique élevé (céréales raffinées, etc.) et les graisses saturées (margarine, charcuteries, plats industriels, etc.). Les sucres simples dits rapides (sucres raffinés, confiseries, confitures, pâtisseries, sodas…) entraînent une sécrétion brutale d’insuline.
L'insuline assure en effet la régulation du sucre sanguin, en l’abaissant et, au niveau de la cellule graisseuse, favorise l’entrée du sucre et sa transformation en graisses. Un effet « yo-yo » le plus souvent puisque les sucres rapides conduisent à une sécrétion exagérée d’insuline avec taux de sucre qui dégringole : c’est le « coup de pompe » avec fringale de sucre… un cycle infernal, qui conduit à la longue à la prise de poids sans pour autant, bien au contraire, renforcer la masse musculaire !
Les organes dits émonctoires (foie, intestins, reins…) ont pour fonction d'éliminer les déchets. Mais leurs capacités de "brûleurs de graisses" sont limitées dès lors qu'ils ont à traiter plus qu'ils ne le peuvent.
Le foie constitue par excellence, l'organe maître de toute démarche de perte de poids. Un foie paresseux, fatigué ne peut gérer correctement le métabolisme des graisses, le processus de détoxification, la circulation de l’eau dans le corps, la régulation hormonale, le cycle du glucose… Un foie qui fonctionne mal est contreproductif en cas d'objectifs minceur !
Un mauvais fonctionnement intestinal peut conduire à une constipation chronique, des ballonnements. La rétention des selles ne provoque pas d'accumulation des graisses mais entraîne un malaise physique et peut être à l'origine de rétention d'eau. Le rétablissement d'un transit régulier peut à lui seul faire perdre quelques kilos.
De même les reins surchargés à cause d’un foie défectueux vont mal assurer leurs fonctions de filtration, excrétion… Les régimes hypocaloriques ou hyperprotéinés peuvent affecter leur fonctionnement.
L’interdépendance de ces trois « portes de sortie » principales des déchets de notre organisme modifie les besoins nutritionnels réels de l'organisme : difficulté à atteindre la sensation de satiété, appétence pour les produits gras et sucrés. Quand le métabolisme est ralenti, les graisses sont stockées et… les kilos aussi.
Surmenage, stress et fatigue chroniques dérèglent la sécrétion d’insuline. Le stress influence aussi la disparition de récepteurs à l’adrénaline sur l’adipocyte, favorisant la lipolyse. Des études montrent aussi que le stress, par la libération de cortisol qu’il entraîne*, favorise la distribution des graisses sur le ventre. C'est pourquoi si vous associez un programme "minceur" à des techniques de relaxation, vous aurez plus de chance d'aboutir.
Un rééquilibrage alimentaire sera préférable à un régime drastique. Mieux vaut perdre régulièrement du poids jusqu'à parvenir à un poids de forme en s'affranchissant des normes esthétiques du moment ! Le poids de forme correspond à un état de santé et de bien-être personnel.
Avant de tester les dernières crèmes minceur, vous pouvez diminuer sans souffrir votre apport calorique. Pour cela :
Les compléments alimentaires Nutergia qui vous accompagnent dans votre programme minceur auront d'abord pour objectif de rétablir le bon fonctionnement des organes de l'élimination et de favoriser l'évacuation de l'eau en cas de rétention. Ces synergies comprennent des actifs naturels de plantes et des oligoéléments, accélérateurs des réactions enzymatiques.
ERGYPURCOL : fibres, algues et minéraux indiqués pour la détoxification grâce à la chlorelle.
ERGYDRAINE : des plantes pour l’élimination rénale (reine des prés, aubier de tilleul et cassis) et faciliter la perte de poids (cassis).
ERGYDETOX : plantes, acides aminés soufrés et minéraux pour soutenir les fonctions d’élimination de l’organisme grâce aux vertus du pissenlit.
ERGYEPUR : l'association du chardon-marie de l'artichaut et du boldo en cas de signes de surcharge hépatique (langue chargée, mauvaise haleine, états nauséeux, teint jaunâtre).
ERGYPAÏNE Plus : le duo parfait du marc de raisin et de la papaye pour la réduction des graisses cutanées et de la cellulite.
*Stress and Body Shape: « Stress-Induced Cortisol Secretion is Consistently Greater among Women with Central Body Fat », E. Epel et al., in « Psychosomatic Medicine », 2000.